Visas d’or - Grande opportunité pour l’Intérieur

Comment la période de transition s’appliquera

Et à partir de juillet 2021, l’intention de limiter les visas d’or aux zones géographiques d’investissements immobiliers intérieurs ou à faible densité ne commence pas immédiatement à se concrétiser. Le plan prévoit que la mesure d’autorisation législative sera introduite progressivement d’ici la fin de 2022.

Cela signifie que, pendant la période de transition, ceux qui sont intéressés à obtenir des permis de séjour en échange d’investissements dans l’immobilier dans les zones métropolitaines de Lisbonne, Porto et la côte peuvent ainsi continuer à bénéficier du régime actuel.

L’immobilier a généré la plupart des investissements associés

Actuellement, la loi détermine que l’acquisition de biens immobiliers de 500.000 euros ou plus ou plus un achat d’un bâtiment de plus de 30 ans, situé dans une zone de réhabilitation urbaine et réhabilité, totalisant 350.000 euros.

En novembre, 86 permis de séjour ont été accordés pour investissement, dont 80 dans le cadre de l’achat de biens immobiliers. En termes de volume d’investissement, il y a eu une augmentation de 35% le mois dernier par rapport à la même période en 2019, à 50 millions d’euros, selon les comptes de Lusa basés sur les statistiques du SEF. Par rapport à octobre, la croissance a été de 75%.

Au total, au cours de ces huit années, 9 340 visas or ont été accordés, associés à des investissements de 5 611 millions d’euros. De ce montant, 8 782 visas et 5 071 millions ont à voir avec l’immobilier. Après ce secteur, la catégorie la plus réceptive est le transfert de capitaux, avec 541 visas or et 5 398 millions d’euros.

L’idée est qu’avec l’entrée en vigueur des nouvelles règles, les investissements étrangers jusqu’à présent principalement liés à l’immobilier, en particulier dans les grands centres urbains et les principales zones touristiques, commenceront à être dirigés vers les communautés interbancaires (ICM) de l’intérieur et des régions autonomes, augmentant également le nombre d’investissements dans des activités qui améliorent davantage la création d’emplois.